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Alice Taglioni, la liberté de choisir

Alice Taglioni, la liberté de choisir

POUR SON PREMIER NUMÉRO, ONIRIQ VOULAIT PLUS QU’UNE GRANDE INTERVIEW, UNE ÉGÉRIE QUI N’AIT PAS PEUR DE SE DÉVOILER. LA COMÉDIENNE ALICE TAGLIONI, QUI A SOUVENT JOUÉ DES RÔLES GLAMOURISSIMES AU CINÉMA, S’EST LIVRÉE SANS ARTIFICE. UN RÊVE D’ENTRETIEN.

Quelle artiste pouvait mieux incarner Oniriq que la divine Alice Taglioni ? Belle sans artifice, sublime lorsqu’elle enfile des tenues sophistiquées, fatale quand elle joue la séductrice définitive dans La Doublure, entre autres rôles marquants, au côté de Dany Boon. Et brillante quand elle évoque sa passion pour la musique ou pour son métier, la comédie, qu’elle exerce désormais comme elle l’entend. « J’ai la chance de choisir mes films, je sais que c’est un luxe », nous confie-t-elle dans cet entretien exclusif et atypique. Alice Taglioni, qui partage la vie du journaliste Laurent Delahousse à la ville, a accepté de jouer le jeu des questions confidences, parfois même impudiques. « J’en dis beaucoup, là, non ? » s’exclame-t-elle dans un sourire spontané, si charmant. Oui Alice, et tant mieux ! Mon premier, c’est plaisirs, mon second, des désirs, mon troisième, l’avenir.
À déguster plus qu’à lire.

Le plaisir majuscule ?

Alice Taglioni : La famille. Être entourée de mes enfants. Mon moteur. Et bien sûr, les dîners entre amis, jouer du piano, chanter, composer.

Vous prenez du plaisir en travaillant ?

A.T. : Infiniment. J’aime les rôles qui nécessitent des recherches, des réflexions , des introspections sur un personnage qui pourtant n’existait pas avant la lecture
du scénario. Je peux me sentir perdue quand je ne travaille pas. Par manque d’inspiration, de stimulation. C’est pour cette raison que la musique me comble.
Comme une forme de méditation, de relâchement. Quand on est comédienne, on dépend beaucoup du désir des autres. En tout cas, c’est ce que l’on ressent.
Comme si du jour au lendemain, on pouvait ne plus exister.

Et l’oisiveté ? Ça vous parle ?

A.T. : C’est un art ! Total. Saisir le temps présent. Savoir profiter du moment qu’on vit sans se projeter sur le coup d’après. Ou refaire le passé. L’oisiveté, ça peut
être voir un film, faire la sieste ou juste être assise et rêvasser…

… Ou un soin ? Un massage ?

Interview complète par Yves Derai, à retrouver dans le n°1 d’OniriQ.

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