À part la première d’entre elles, la fameuse MP4- 12C devenue collector, je les ai quasiment toutes essayées, rarement sur circuit (hélas !), le plus souvent sur de longs parcours, avec toujours un plaisir intense qui commence au premier regard sur chaque nouveauté. Au cours de l’année écoulée, j’ai pu ainsi parcourir le Pays basque en McLaren GT pendant une dizaine de jours, faire le Festival du film à Cannes en 720S Spider – il faut au moins ça pour la Côte d’Azur – pour ensuite parcourir la Provence estivale avec l’Artura, l’hybride de circonstance, mais bien une McLaren.
Si j’avais eu l’occasion, et le plaisir, de faire un reportage en Champagne avec la 765LT, assez radicale déjà, avec, comme son nom l’indique, 765 ch, je pouvais légitimement m’étonner de la production d’une voiture de « seulement » 750 ch. C’était bien entendu sans compter sur les évolutions techniques et les choix de fabrication car cette nouveauté est bien la McLaren de série la plus légère et la plus puissante, avec le meilleur rapport puissance/poids de la catégorie : 587 ch par tonne (version Coupé, poids sec) : les premières faisaient « seulement » 400 ch/tonne et on parlait d’exception.