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Hapsatou Sy : « Je suis une femme à tout faire, mais ce qu’elle veut »

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Hapsatou Sy : « Je suis une femme à tout faire, mais ce qu’elle veut »

CRÉATRICE DE MODE, INDUSTRIELLE EN COSMÉTIQUE, FEMME D’AFFAIRES, CHRONIQUEUSE TÉLÉ ET J’EN PASSE : HAPSATOU SY, AUSSI FIÈRE DE SON PARCOURS EN FRNCE QUE DE SES RACINES SÉNÉGALAISES, REVENDIQUE DÉSORMAIS LE DROIT DE CHOISIR. ELLE SE LIVRE ICI COMME JAMAIS, ENTRE ÉCLATS DE RIRE ET CONVICTIONS, CONFORTABLEMENT INSTALLÉE DANS LE CANAPÉ DE SA « MAISON », LE LIEU DE VIE ET DE TRVAIL QU’ELLE VIENT D’OUVRIR AU CŒUR DE PARIS

Quel est pour vous le plaisir absolu ?

Hapsatou Sy : D’être avec les gens que j’aime. Quand je vais au Sénégal et que je passe du temps avec mon père, quand je suis le soir avec mes enfants, c’est pour moi le vrai plaisir. Le plaisir n’est pas matériel, il doit laisser des souvenirs. Un bon repas…

Même solo ?

H.S. : Le plaisir solitaire, ça existe ! (Rires) Avoir rendez-vous avec soi-même, profiter du silence, c’est aussi un plaisir. Je suis très entourée, j’adore ça depuis ma tendre enfance. On était dix à la maison ! Mais j’ai besoin de solitude parfois. J’ai évolué dans un milieu bling-bling, celui des médias, des soirées, etc., mais en réalité, je suis très casanière et cela se voit de plus en plus. J’aime me sentir au chaud, dans un cocon.

À quelle occasion êtes-vous seule ?

H.S. : En voyage d’affaires. Dans l’avion, à l’hôtel entre deux rendez-vous ou conférences. J’aime aussi marcher seule dans les villes. Comme je n’ai aucun sens de l’orientation, je me perds et j’adore ça.

Vous êtes une grande bosseuse. C’est par plaisir ou pour assurer votre confort matériel et celui des vôtres ?

H.S. : J’ai toujours su faire de l’argent, là n’est pas le sujet. Mais j’en ai aussi perdu car je prends des risques. Comme je vous l’ai dit, le matériel m’importe peu. Aujourd’hui, je suis une femme à tout faire, mais uniquement ce que je veux. C’est cool, non ?

Et quand vous avez une réunion avec votre comptable, c’est le kif absolu ?

H.S. : Ça va vous surprendre mais oui, j’y prends du plaisir. Car j’aime comprendre. Je suis passionnée d’Excel, des tableaux qui se modifient tout seuls quand on change une case ! Je dois être un peu folle…

À quel moment prenez-vous le plus de plaisir dans votre activité professionnelle ?

H.S. : La création. Picorer des idées dans le quotidien et les projeter dans ma réalité. Et tant pis si c’est un échec, l’essentiel est d’avoir créé.

Vous revendiquez aussi le droit à la paresse ?

H.S. : Ah oui ! Quand je le décide, je peux rester chez moi à regarder une série Netflix alors que tout le monde bosse. Aucune culpabilité. Parfois même, je ne fais rien de chez rien. Mon téléphone ne me dérange pas car il est toujours sur silencieux. Je le regarde quand je veux. Je garde le contrôle.

Quand vous avez participé à des émissions comme Danse avec les stars sur TF1 ou les Reines du shopping sur M6, c’était par plaisir ou pour avoir de la visibilité ?

H.S. : Par challenge. DALS, c’était pour apprendre à…

 

Interview complète à retrouver dans le n°2 d’OniriQ, par Yves Derai

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