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Lamborghini Huracán : une épopée prodigieuse

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Lamborghini Huracán : une épopée prodigieuse

2014-2024. BIENTÔT DIX ANS QUE LA PREMIÈRE HURACÁN A FAIT SES PREMIERS TOURS DE ROUE SUR L’ASPHALTE. LA FAMILLE HURACÁN S’EST RÉUNIE AU GRAND COMPLET À PORTO CERVO, EN SARDAIGNE, POUR CONCLURE CETTE DÉCENNIE EN BEAUTÉ. UN ANNIVERSAIRE QUI SE DOUBLE DE CELUI DE LA FIRME DE SANT’AGATA BOLOGNESE : 60 ANS !

Sur la Costa Smeralda, Porto Cervo est comparée à Saint-Tropez. En clair : la mer, magnifique, les yachts, superbes, le village, attractif, les boutiques de luxe, nombreuses, les hôtels luxueux, à commencer par le 7Pines du groupe Hyatt, et bien entendu le soleil. Là, Lamborghini a installé son showroom éphémère qui revient cependant tous les ans, dans lequel trônent deux de ses derniers modèles : la Revuelto, la première supersportive hybride HPEV avec son nouveau moteur V12 allié à trois moteurs électriques à haute densité et une boîte de vitesses électronique transversale à double embrayage révolutionnaire pour une puissance globale de 1 015 ch (0 à 100 km/h en 2,5 s et 350 km/h), tout comme la dernière déclinaison de la fameuse Huracán, la Sterrato, ici dans une livrée spéciale entièrement peinte à la main (Opera Unica : 70 heures de travail !) et issue du programme de personnalisation « Ad Personam ». Et c’est justement par ce programme que commençait cette journée quand il s’agissait, à partir du modèle de base, de programmer « sa » voiture. Pas une mince affaire, entre les 80 coloris de base pour la carrosserie (vous pouvez aussi choisir « votre » couleur), avec des nuances de blanc, de gris, de noir, de bleu, de vert, d’or…, avec les jantes, les étriers de frein, les rétroviseurs, les pots d’échappement, les feux additionnels, tous les détails de la carrosserie… avant de s’attaquer à l’intérieur avec autant d’interrogations sur les sièges, les tissus, le carbone, la console, les panneaux de porte, les ceintures de sécurité : deux ou quatre points ? Noires ? Jaunes, bleues, vertes ? Autant dire que trois heures plus tard, nous n’avions pas fini notre sélection et que la facture s’alourdissait sérieusement.

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Sur les routes de Sardaigne

Nous disposions de quatre Huracán pour ces essais hors du commun. Par ordre de prix, on commençait par l’Huracán Tecnica (211 949 €), pour passer à la Sterrato (242 259 €), l’EVO Spyder (277 543 €), et enfin la convoitée STO dans sa livrée de combat (377 575 €). Avec l’Urus Performante qui ouvrait la route (299 228 €), cela faisait un joli convoi à plus de 1,4 millions d’euros ! Conduire chacune de ces merveilles procure un plaisir infini. Toutes sont dotées du fameux V10, avec des aménagements diérents et des puissances équivalentes même si elles peuvent varier d’un modèle à l’autre. La Tecnica par exemple, affiche 640 ch pour 1 379 kg (565 Nm à 6 500 rpm, 0-100 km/h en 3,2 s), tandis que la Sterrato, avec le même moteur, dans sa version de base (610 ch) revendique d’autres performances : à 100 en 3,4 s (260 km/h seulement !). L’EVO Spyder, en cabriolet, retrouve les 640 ch (0 à 100 en 3,1 s, 325 km/h), en orant un plaisir de conduire diérent quand le spectacle alentour prend toute sa mesure une fois son toit ouvert et que vous sentez l’air s’engouffrer dans la voiture. Finir par la sulfureuse STO, faite pour la piste il est vrai,avec son large aileron arrière, mais très à l’aise sur l’asphalte, fait monter d’un cran les sensations. En mode Sport, les 640 ch (0 à 100 en 3 s, 310 km/h) émettent déjà une sonorité extrême, alors ne parlons même pas du mode Corsa. Seul bémol, les routes de Sardaigne sont limitées à 50 km/h !

Article complet à retrouver dans le n°5 d’OniriQ

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