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L’art du détail

L’art du détail

DANS L’HORLOGERIE PLUS QU’AILLEURS, L’EXCELLENCE NE SE VOIT PAS FORCÉMENT À L’OEIL NU. DANS CE MONDE DE L’INFINIMENT PETIT, UN DÉTAIL TECHNIQUE OU ESTHÉTIQUE PEUT TRANSFORMER L’ORDINAIRE EN CHEF-D’OEUVRE. VISIBLE OU PAS, LE DÉTAIL FAIT LA MONTRE. ET CRÉE SA VALEUR.

Le cadran est le visage d’une montre. » Comme tous les adages, celui-ci revêt une part de vérité.
Difficile de nier que le premier regard se porte – dans la grande majorité des cas – sur le cadran. Les raisons en sont multiples et d’une simplicité désarmante. D’une trentaine de millimètre de diamètre, ce cercle de laiton ou d’or, décoré ou pas, parfois ajouré ou totalement transparent, est la surface la plus importante d’une montre. Une surface aussi plane qu’une toile de maître. Une surface qui joue le rôle d’un écran informatif (heure, minute, seconde, calendrier…) mais aussi celui d’une interface. Conséquence : quand un horloger veut signifier un changement, il choisit très souvent d’utiliser le cadran pour le faire savoir. Dernier exemple en date : le lancement de la nouvelle collection des chronographes de pilote Navitimer de Breitling.
Maison historiquement liée à l’aviation, Breitling a créé la Navitimer en 1952 avec, pour mission, d’en faire un authentique ordinateur mécanique de poignet grâce à une lunette dotée d’une règle à calculs complexe.

Vous pourrez lire la suite dans le magazine Oniriq.

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